C’est encore tout frais. Le 1er juin 2024, Sylvia Rapisarda a ouvert Pit Shop, un magasin de prêt-à-porter masculin, à Mérignies. La jeune entrepreneuse a sollicité un accompagnement financier de Pévèle Carembault via le dispositif « Aide à l’immobilier commercial et artisanal de centre-bourg ».
« C’est une aide qui est la bienvenue, surtout quand on démarre une nouvelle activité, avoue la commerçante. La subvention a participé à l’achat et à la pose des enseignes de ma devanture. On a tellement de frais au début (aménagement, loyer…) et aucune trésorerie qu’elle fait du bien. »
L’aide à l’immobilier commercial et artisanal de centre-bourg permet d’obtenir une subvention maximale de 30% du montant de la facture dans la limite de 3 000 €. Le reste est à la charge de l’entrepreneur. Pévèle Carembault a donc versé 1 386.42€ à Sylvia Rapisarda.
Tout savoir sur cet accompagnement
Qui peut y prétendre ? Les entreprises du commerce, de l’artisanat et des services installées avec une façade en centre bourg (hors franchises, filiales, succursales). La clientèle doit être locale et les produits à destination des particuliers (+65% du chiffre d’affaires).
Pour quels travaux ? Rénovation des vitrines et façades commerciales et les travaux de mise en accessibilité du local.
Quel est le montant de la facture ?
- Pour la rénovation des vitrines et façades commerciales : subvention maximale de 30% des factures avec un plafond de subvention de 3 000€.
- Travaux d’accessibilité : subvention maximale de 40% des factures avec un plafond de subvention de 3 000€.
Comment demander l’accompagnement ? Les demandeurs doivent prendre contact avec Pévèle Carembault par mail à eco@pevelecarembault.fr
Pit Shop en quelques mots
Après 6 années passées comme commerciale dans le secteur du bâtiment sur Phalempin, Sylvia Rapisarda a souhaité prendre un nouveau départ. Avec PitShop, elle a fait d’une pierre deux coups : réaliser son rêve d’ouvrir son propre magasin et partager sa passion pour la vitesse et les belles voitures. Pit Shop est spécialisé dans la vente de vêtements qui tournent autour de l’univers du moteur (marques de voitures et de motos) et des vêtements « sport chic ». Après quelques recherches de locaux pour installer son activité, elle a eu un coup de cœur pour Mérignies. « Je me suis tout de suite sentie bien ici. J’ai 110 m² et je travaille seule pour le moment. Je suis vraiment heureuse d’avoir ouvert. »
